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L’Oreille de Lacan de Patrice Trigano
Dandy solitaire, hypocondriaque, rongé par les manies, aux prises avec d’insurmontables problèmes sexuels, Samuel Rosen vit reclus dans son hôtel particulier du VIIe arrondissement de Paris, entouré de ses livres et de ses œuvres d’art, dans le regret de ne pas être entré en analyse avec Lacan lorsqu’il avait vingt ans. Sur le point de faire publier un « livre-événement » qui fait sa fierté tout en nourrissant ses doutes et ses angoisses, Rosen cherche à apaiser ses conflits intérieurs en s’évadant par la peinture, la musique, la littérature, une ascension du mont Ventoux sur les traces de Pétrarque, un pèlerinage à Rocamadour dans les pas de Francis Poulenc… sans succès, jusqu’au jour où, à l’occasion d’une retraite chez les moines trappistes, tout bascule…
Extrait : III DIVAN
(…) Douce rêverie ! Je me revois jeune étudiant à la fin des années 60, après que la grande aventure de Mai 68 a de façon indélébile imprégné mon esprit. Des problèmes de vertige, dont je ne me suis jamais départi, ruinaient alors mon quotidien. J’aspirais profondément à devenir un pensionnaire attitré du divan de Lacan. Et pour me familiariser avec le personnage dont la légende m’attirait, j’allais jusqu’à observer ses allées et venues depuis le trottoir situé en face de son domicile. Parfois, gêné de faire le guet durant de longues heures, je feignais d’attendre un ami à la sortie de l’École des langues orientales. Que serait devenue ma vie si j’avais eu du cran à l’âge de vingt ans ? Que se serait-il passé si j’avais eu le courage de pousser la porte… cette porte du 5 rue de Lille ? Lacan m’aurait reçu dans son cabinet saturé de l’odeur âcre de ses cigares « culebras ». À coup sûr, le jeune homme que j’étais aurait été impressionné par le regard inquisiteur, perçant à travers ses lunettes. Après l’échange des quelques mots nécessaires au service minimum d’une prise de contact, le célèbre analyste se serait contenté de m’indiquer d’un geste le chemin du divan. J’aurais pris l’habitude d’y venir deux fois par semaine. Muet comme une carpe, le Dr Lacan ne m’aurait qu’écouté. Face à un mur de silence, j’aurais vécu la redoutable épreuve de l’analyse. Ma dépendance à l’endroit du médecin serait devenue de plus en plus grande au fur et à mesure que, tombant de Charybde en Scylla, j’aurais fini par atteindre le tréfonds de mon désespoir. Puis un jour, je serais tout simplement remonté à la surface. Transformé. Libéré. Mes blocages auraient trouvé leur terme. En adoptant la formule du thérapeute : « Il ne faut jamais céder sur son désir », j’aurais assouvi mes besoins de défoulement. J’aurais pris le pouvoir sur mes maux, domptant puis annihilant leurs pouvoirs ravageurs. Mon quotidien aurait alors cessé d’être une épreuve sans arrêt renouvelée. J’aurais constaté que le monde avait décidé de ne plus m’être hostile. La peur m’aurait quitté, mes craintes se seraient dissipées. J’aurais appris à gérer mon ego, à profiter des satisfactions que procurent l’échange, le partage, la générosité, l’amour. Mes doutes auraient fini de gripper le moteur de mon existence. J’aurais accepté de pouvoir être jugé et cela m’aurait permis de devenir homme d’action. Je ne serais plus ce vieux fils de famille, replié sur ses collections, vivant dans l’opulence grâce à son héritage. J’aurais peut-être même créé une famille. En tout état de cause, j’aurais cessé d’être l’esclave de mes angoisses, la victime de mon enfermement. Mon extrême susceptibilité, mes perpétuelles contrariétés seraient devenues des prétextes à sourire, des obstacles transformés en tremplins. Mes vertiges se seraient limités à la peur de tomber. J’aurais entrepris, modelé mon avenir, fabriqué mon destin. Mon ouverture au monde m’aurait tout simplement tracé la voie d’un bonheur possible. (…)
Mélange des genres
ROMAN – Mélange des genres
L’acte manqué
II vit hors du monde, Samuel Rosen. Ou plutôt dans son monde. Le seul monde qui existe vraiment. Une galaxie à laquelle son hôtel particulier 6 du VIII arrondissement de Paris tient lieu de centre et qui se ramifie dans les rues de Saint-Ger- main-des-Prés. Il s’y est installe dans un confort ouaté, raffiné, entre les livres précieux, les toiles et les gravures. Collectionnant les mémento mort et les masques africains. Aux bons soins d’un majordome, il s’est retiré dans ce délicat fatras comme « un ermite du luxe ».
Pensant à l’instar du Proust des Plaisirs et les jours qu’« il vaut mieux rêver sa vie que la vivre. Encore que la vivre, ce soit encore la rêver ». Sauf qu’en lui tout s’agite.
Les obsessions, les frustrations, les culpabilités. Surtout, il rumine le regret de n’avoir jamais osé lorsqu’il avait 20 ans franchir la porte du cabinet de Jacques Lacan. Son voisin du 5, rue de Lille… Ce livre de Patrice Trigano est comme un petit traité de l’art de la névrose. Drôle, féroce, intelligent.
On y avance dans la brousse des pensées empêchées.
A l’affût des traumatismes du passé et du temps oublié. •
XAVIER HOUSSIN
+L’Oreille de Lacan, de
Patrice Trigano,
La Difference,
192o 18€
SERVICE LITTERAIRE DE JUILLET-AOUT 2015
ON TROUVE CA BIEN :
L’Oreille de Lacan, de Patrice Trigano. Un dandy hypocondriaque qui aurait voulu consulter chez ce cher Jacques se retrouve chez des moines trappistes. Le choc, pour l’athée, est maousse. Entre les dessins de Bellmer, « Les fleurs du mal », « Les fourberies de Scapin », c’est l’écriture qui subsiste. (La Différence, 192 p., 18 €)
L’auteur aime à se mettre dans la peau d’un autre ; il s’est ainsi inséré dans la personnalité d’Antonin Artaud et de Raymond Roussel. « Quelle bien étrange et douce tendance que celle qui consiste à ne voir le monde qu’à travers l’art ! », écrit-il dans Une vie pour l’art. L’art serait un reflet de la vie, mais sublimé, réduit à son essence signifiante. En ce dernier « roman », il a imaginé et fantasmé cette fois la vie d’un personnage de fiction, Samuel Rosen.
Dandy névrosé plein de TOC, obsédé de Lacan qu’il n’a jamais rencontré mais aperçu de loin, collectionneur maniaque qui s’entoure d’objets comme d’autant de doudous, Samuel est un personnage cannibale. Comme le Golem, créature artificielle qui échappe à son créateur, il en vient à envahir la vie de l’auteur, son imaginaire, comme une « élucubration désirante », ainsi qu’il le dit joliment hors texte. La construction du roman présente l’originalité d’un prologue où l’auteur expose sa volonté de faire la biographie de son personnage, d’un « logue » où il en revêt la peau, enfin d’un épilogue où il se dresse contre lui, l’accusant de l’avoir contaminé. Mais être possédé des êtres créés de soi, n’est-ce pas la pathologie du véritable écrivain ?
Rosen est révolté évidemment, comme son auteur et comme le veut la mode intellectuelle. Il se cherche sans se trouver. Inhibé sexuel, il pousse les expériences comme on pousse successivement des portes – jusqu’à l’ultime. Il va ainsi dans les premières pages participer, alors que « la lune diffuse sa lumière blafarde dans les rues désertes » p.21, à une séance des Omphalopsyches, une secte adoratrice du nombril, qui y voit depuis la plus haute antiquité l’origine du monde. Ce n’est pas sans rappeler Joris-Karl Huysmans (d’ailleurs cité p.30), dandy lui aussi, tout pénétré des tourments d’une fin de siècle. Mais la terreur devant le réel incompris est ici remplacée par l’humour – et le diable d’hier par les psys d’aujourd’hui. L’atmosphère esthète de Huysmans surnage, entre Baudelaire et Gustave Moreau, le satanisme étant, à fin de notre siècle, la secte du Lacan gourou. Le réalisme des descriptions huysmaniennes portent ici sur les livres anciens, les meubles d’époque et les statues médiévales.
Le roman est parsemé d’aphorismes du « grand psy » qui rappellent les maximes primaires de l’instituteur Mao en son petit Livre rouge. « Il n’y a pas de vérité qu’on puisse dire toute » p.61, « l’imaginaire et le réel sont deux lieux de la vie » p.96, « le réel, c’est quand on se cogne » p.117… Lacan va-t-il détruire ce talent d’écrire ? « Après tout, si je suis devenu écrivain, c’est à ma frustration que je le dois. Et c’est pour cette raison que j’en suis l’obligé » p.68. De la blessure naît le poète, de la souffrance l’observation aiguë des autres. « J’aime en art tout ce qui révèle à mi-mot les faces cachées de l’existence » p.42. D’où Nietzsche et Stirner placés sur la cheminée de face, encadrant un Hegel de dos : la généalogie de la morale et l’autonomie de l’Unique contre le chantre de l’Ordre historique, succédané du destin voulu par Dieu.
Samuel Rosen soupçonnera Nerval d’avoir été le nègre de Baudelaire, calculera des anagrammes pour le prouver, en écrira un livre qui ne sera pas édité, puis passera à la Trappe pour y subir la révélation lacanienne du bord d’elle. L’art est un leurre qui cache une vérité. Les arts « aiguisent ma fascination pour l’incompréhensible » p.170, surtout lorsque cela me concerne… Une gravure ouvre sur une porte qui, dans l’inconscient personnel fait référence à une scène primordiale, de laquelle tout découle. C’est joliment tourné, puissamment décrit. Le personnage unique prend toute la place mais captive par sa force. Même si la névrose, pathologie psychique des siècles d’interdits (phobies, obsessions, neurasthénie, refoulement…), se trouve aujourd’hui remplacée plutôt par la psychose, angoisse devant l’écrasante solitude de l’être responsable de lui-même et tourné, pour cela, exclusivement vers soi (narcissisme, paranoïa, mégalomanie, schizophrénie…)
Restent quelques phrases un peu sophistiquées qu’on croirait plaquées comme un rajout, un autre moment d’écriture ou une autre main, un fard sur la nature du texte. Que penser de celle-ci : « Sa prime approche fait néanmoins l’économie de la complexité extrême du dandy dont l’élégance précieuse occulte l’apparence quelquefois ridicule » p.14. Ce n’est pas le cas général, cependant l’artiste peut prendre lui aussi un jargon technocrate, contamination peut-être des catalogues de galeristes.
Mais comment faire la critique d’un auteur qui désarme par avance les plumes acérées ? « On s’en donnera à cœur joie de railler mon talent, ridiculiser mes propos, humilier ma personne » p.99. Il n’en est rien, cher auteur, votre roman est un bon roman, votre troisième, dont je dis tout le bien ci-dessus et que je conseille aux lecteurs.
Patrice Trigano, L’oreille de Lacan, 2015, éditions de la Différence, 185 pages, €18.00
Attachée de presse Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com
Galerie Patrice Trigano
Portrait de Patrice Trigano dans le Nouvel économiste
Par Félicia France Doumayrenc
« On ne sort jamais indemne d’une plongée dans l’écriture. » C’est par cette phrase si juste dans son interpellation que se termine le roman de Patrice Trigano : L’oreille de Lacan. Pourtant, le début d’un livre naît avec la première phrase de celui-ci. Telle l’ouverture d’un opéra, elle donne le ton, ouvre le souffle, fait respirer le lecteur au rythme de silences ponctués.
Un roman fait entrer celui-ci dans un imaginaire autre que le sien. Ce livre entraîne dans un chemin plus tortueux puisque l’auteur nous livre un roman dans le roman et pose, ainsi, le travail de l’écrivain, son imagination, sa plume.
En effet l’auteur, un des personnages de Patrice Trigano et dont nous ne saurons jamais le nom, décide un jour d’écrire, d’inventer la vie de Samuel Rosen. Homme qu’il observe dans le petit cercle germanopratin et qui est devenu, pour lui « une énigme vivante », justement parce qu’il en épie les moindres faits et gestes.
Samuel Rosen esthète proche de des Esseintes personnage de Huysmans dans À rebours, est un homme qui semble d’une autre époque.
Non loin de l’ermite, ce dandy névrosé, semble atteint d’une névrose obsessionnelle dont il dit « ces manies, progressivement apparues dans ma vie comme de faux amis sous prétexte de m’aider, aliènent mon quotidien ; mais je suis loin d’être hostile à cette mise sous tutelle ». De même, il est en proie à d’insurmontables problèmes sexuels et a pour regret de ne pas avoir été sur le divan de Lacan à vingt ans. Personnage solitaire, il vit en en l’unique compagnie de son majordome qui, lui sert aussi, d’homme de ménage, de maître d’hôtel, de cuisinier, etc.
Tentant d’apaiser ses angoisses, il s’autorise à écrire un livre dont il ne doute pas de la puissance.
Dans ce but, il part faire une ascension du Mont Ventoux sur les traces de Pétrarque, fait un pèlerinage à Rocamadour en mettant ses pas dans ceux de Francis Poulenc, tout en ayant en tête les phrases de Lacan comme si celles-ci lui servaient de béquille et l’aidaient à vivre.
David Rosen, homme érudit puise sa langue dans celle des auteurs classiques et contemporains (on croise tout au long du récit des références tant à Maupassant, Poe, Bataille, Breton, etc.) et dans sa bibliothèque, car comme il l’écrit « bibliophile insatiable, j’ai engouffré une large partie de la fortune héritée de mon grand-père dans la constitution d’un ensemble qui compte plus de douze mille volumes.»
Livre très dense, remarquablement bien écrit, empli de références tant sur la littérature, la peinture, la musique parfois délirant : Rosen croyant un instant que Nerval était le nègre de Baudelaire, il ne se doit pas d’être, plus encore, dévoilé.
L’intrigue intéressante est un prétexte pour faire comprendre au lecteur les subtilités de la création. Par une pirouette, lors d’un échange de correspondance entre Rosen et l’auteur, Patrice Trigano induit cette question.
Qui est Rosen ? Qui est l’auteur ? Sont-ce deux personnages différents ?
Ce dernier ne sombre-t-il pas, à son tour, dans une espèce de conduite de répétition ?
Et, c’est cette phrase qui pousse à s’y interroger : « La psychologie du modèle a déteint sur son biographe. »
Il faut lire ce roman dense et envoûtant. Tout d’abord parce qu’il est remarquablement bien écrit et surtout parce qu’il transporte dans un temps quasi suspendu.
L’oreille de Lacan est un écrit sur la peinture, l’écriture, l’esthétisme, la névrose, sur Lacan, sur la psychanalyse, sur la quête de soi et sur l’écriture en elle-même.
Patrice Trigano signe là un des meilleurs livres de cette année, et pousse à écrire, en le paraphrasant qu’on ne sort jamais indemne d’une plongée dans un roman, en particulier dans celui-ci dont le titre L’oreille de Lacan, à lui seul, est porteur de métamorphoses.
Article de Guilaine Depis dans le numéro 17 de la revue littéraire Livr’Arbitres consacrée à Dominique de Roux, page 52
L’oiseau De Roux
Des ailes nobles sur un cœur de diamant
« Le cœur est une matière noble. Heureux ceux dont les cœurs se sont brisés. Ils ont gardé leur adolescence ».[1]
Alors qu’elle lui consacrait une séance de son Atelier permanent de lecture et d’écoute «à voix haute et nue»©[2], Michèle Venard confiait volontiers qu’elle aurait atteint son objectif de vérité si elle réussissait à faire ressentir à son public que Dominique de Roux était – selon son épouse Jacqueline de Roux – un oiseau.
Il en avait l’ineffable grâce, la virevoltante légèreté, la surprenante rapidité, l’insaisissabilité et les ravissants pépiements. Un oiseau qui avait la fronde courageuse toujours sur le point de s’envoler, de s’échapper, vers de plus hautes cimes littéraires, de plus lointaines contrées.
« L’honneur du combat amoureux c’est le déshonneur complet . »[3]
Dominique de Roux conjuguait l’écriture avec l’aventure, donnait corps à sa puissante pensée par des mots et des actes. Il n’avait peur de rien, et surtout pas de s’engager dans la défense des infréquentables de son temps, ni d’aimer – lui dont le blason comporte deux éclats de diamant et la devise latine « Cor adamantinum », que l’on traduit par « cœur de diamant ».
Un homme généreux, tourné vers les autres et le monde
Son ami Gabriel Matzneff l’évoque en ces termes dans son journal le 29 mars 1977, jour de son envol définitif :
« Son œil vif d’oiseau. Sa génialité, son verbe de feu.
Certains de nous soignent leur personnage : c’est ce que nous appelons avoir le goût de notre destin. Dominique, lui, n’avait aucun souci de son personnage. Nul n’était moins nombriliste que lui, et il semblait toujours plus intéressé par les autres que par soi. (…) Dominique, si passionné, si vibrant. L’inimitable façon qu’il avait de prendre la tangente – une tangente apocalyptique.[4] ».
Dominique de Roux a passé sa vie à partir ; son intelligence exceptionnelle et sa lecture à la fois libre et prémonitoire du monde nous font cruellement défaut.
« Dominique de Roux était un ultra historique – étymologique : ultra gauche et ultra droite à la fois, au-delà, de l’autre côté, plus loin, en avant, ailleurs.[5] »
Il allait partout, en quête de beauté et de sens.
Une entêtante saudade
Avec la figure de l’oiseau, un second concept est essentiel est essentiel pour aborder, comprendre ou approfondir l’immensité De Roux : celui portugais de saudade qu’il définit lui-même comme « mémoire qui est anticipation, regret et désir à tel point que regret et désir communiquent »[6]
Dominique de Roux suscitait de son vivant l’horreur ou la vénération sans se soucier de sa réputation.
La postérité a tranché : son œuvre n’a jamais été autant lue, relue et étudiée qu’au troisième millénaire où le citer est devenu une référence de qualité – la référence suprême, le sésame ultime – parmi les derniers résistants des lettres.
Guilaine Depis
[1] Dominique de Roux, Immédiatement, La petite vermillon
[2] Le jeudi 20 septembre 2012 au Théâtre des Deux-Rêves
[3] Dominique de Roux, Immédiatement, La petite vermillon
[4] Gabriel Matzneff, Un galop d’enfer, La Table Ronde, page 45-46
[5] Rémi Soulié, Les Châteaux de glace de Dominique de Roux (Les Provinciales/L’Âge d’homme), page 80
[6] Dominique de Roux, Il faut partir, Fayard
INVITATION VENDREDI 12 JUIN 2015 À 20 HEURES
À UNE SOIRÉE EXCEPTIONNELLE
AUTOUR DE L’OEUVRE DE DOMINIQUE DE ROUX
en présence de Jacqueline de Roux, Pierre-Guillaume de Roux et de nombreux écrivains)
À L’OCCASION DE LA SORTIE DU NUMÉRO 17 DE LA REVUE LITTÉRAIRE DU PAYS RÉEL, LIVR’ARBITRES (cliquez pour en savoir davantage sur cette revue littéraire)
en partenariat avec Guilaine Depis, attachée de presse
Apéritifs, Ventes, Dédicaces & Livres d’occasion
Restaurant « Au petit Victor Hugo » 143 Avenue Victor Hugo 75016 PARIS
Métro Ligne 2 Station Victor Hugo
Entrée gratuite
* Chacun règle sa(ses) consommation(s) et a la possibilité de dîner sur place
Pour les journalistes, écrivains et critiques, merci de contacter pour vous inscrire guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85 /
Patrick Poivre d’Arvor fait de l’écrivain Patrice Trigano son invité Littérature sur Radio Classique le jeudi 4 juin 2015 à 19h50. Avec Thierry Gandillot des Echos. Podacst à venir.
Ici, Patrice Trigano avant l’enregistrement de l’émission.
Soirée exceptionnelle avec Christian Rol à la librairie Contretemps
Signature et rencontre à la librairie avec Christian Rol le jeudi 11 juin, de 18h30 à 21h pour son livre « Le roman vrai d’un fasciste français » aux éditions La Manufacture des livres.
Merci à l’excellent libraire Xavier de Marchis