Le blog Archaïon recommande « Jasmine Catou détective »

Christopher Gérard craque pour « Jasmine Catou détective »

Né en 1956, Christian de Moliner, est agrégé de mathématiques, ancien professeur et essayiste. Parmi ses derniers ouvrages, Islamisme radical, comment sortir de l’impasse ?, paru aux éditions Pierre Guillaume de Roux.

Il est aussi romancier prolixe dans le genre apocalyptique. Un drôle de pistolet donc, qui fait appel à une célèbre attachée de presse de Saint-Germain-des-Prés, qui est à elle seule un personnage d’anthologie… et de roman.

En effet, Agathe, l’un des personnages de son dernier livre, Jasmine Catou, détective, est le double limpide de Guilaine Depis, intrépide défenseuse des écrivains qui lui confient ses livres (https://guilaine-depis.com/).

Je dis l’un des personnages, car l’héroïne n’est pas Guilaine, mais bien Jasmine, élégante chatte aux yeux verts qui, impériale, trône sur la couverture. Dans la vraie vie, Jasmine est l’assistante, ô combien zélée, de Guilaine. Dans ce roman, une pochade écrite à la diable par pur plaisir, Christian de Moliner la métamorphose en détective qui, à coups de griffes et de miaulements, communique à sa maîtresse les résultats de ses enquêtes sur, dans le désordre, la mort suspecte de l’immonde Sossers, éditeur véreux s’il en est, sur la disparition d’un bracelet magique ou encore sur le mystérieux fantôme de la rue du Dragon.

Le tout est bien enlevé, plein de charme et de fantaisie, non dénué de coquilles.

Christopher Gérard

Christian de Moliner, Jasmine Catou, détective, Éditions du Val (sur Amazon uniquement), 10 sesterces.

Un roman à partir d’une chatte réelle, la célèbre Jasmine Catou

Christian de Moliner, Jasmine Catou détective

S’il existe des chiens policiers, les chats sont beaucoup plus rares. Seule Lilian Jackson Braun a instauré la série Le Chat qui… Dame Agatha elle-même montre peu de minets dans ses pages, son Hercule est seulement un vieux beau. Mais si l’article ne se trouve pas chez Christie, Christian le produit.

Jasmine Catou est le nom d’une chatte réelle, étalée d’ailleurs en couverture sur ce qui fut un jour mon lit d’une nuit. Comme dans le livre, elle vit à Paris chez sa « mère »qui est aussi maitresse d’amants plus ou moins attentionnés et dans l’attente de « l’homme de sa vie ». Situation qui produit des rencontres, des quiproquos, des rébus, tous ingrédients fort utiles aux énigmes.

Cinq d’entre elles nous sont contées, parmi les innombrables que la chatte a vécu. C’est que l’appartement est petit, mais« bordélique », et que les choses ont une fâcheuse propension à se perdre tandis que l’exiguïté des lieux oblige les convives à se serrer, jusqu’à l’empoisonnement. Un éditeur tueur, dragueur et vaniteux en fait les frais au café, après un délicieux poulet accompagné de tomates confites au four (Jasmine se pourléchera des restes, prendra encore 100 g en plus de ses 6 kilos bien fourrés).

Catou est une chatte, donc observatrice et impitoyable aux détails. Elle ne parle pas (évidemment) mais sait s’exprimer (évidemment – tous les compagnons de chats le savent) : frottement, griffes dehors, miaulement, saut léger pour faire tomber les objets. Pas n’importe lesquels ! Ceux qui permettent à maitresse Agathe (hommage à la reine du crime anglaise) et à son amie Armelle (prof de math éprise de logique) d’orienter leurs hypothèses sur la plus probable.

J’ai l’honneur de connaître la bête et son théâtre d’opération, niché dans un recoin proche de Saint-Germain des Prés. Jasmine condescend à se laisser parfois caresser et à jouer, considérant tout de ses yeux verts. Tout est vrai (sauf le lave-vaisselle, qui n’existe pas) et tout est inventé, pour le plaisir de la lecture. Car un chat policier, et dans le 6ème arrondissement, dame, cela ne s’est jamais vu !

Christian de Moliner, Jasmine Catou détective, 2019, éditions du Val, 109 pages, €6.50 e-book Kindle €4.50 

Attachée de presse BALUSTRADE : Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

Le roman « Jasmine Catou détective », les aventures d’une célèbre chatte attachée de presse littéraire

Parution le 30 septembre 2019 d’un roman vraiment original et insolite : « Jasmine Catou détective », le nouveau roman de Christian de Moliner aux Editions du Val.

Résumé : Jasmine Catou est une jolie chatte au poil soyeux et aux yeux verts. Elle vit avec sa mère Agathe, qui est attachée de presse, dans un appartement parisien ancien et plein de charme. Curieuse et surdouée, elle va résoudre avec brio les 5 énigmes qui se posent à elle. Des enquêtes pleines de fantaisie et qui vous séduiront.

(un roman librement inspiré de Jasmine Catou, la véritable assistante de l’attachée de presse Guilaine Depis qui est sur la page d’accueil du site de son entreprise Balustrade http://guilaine-depis.com)

Cinq raisons d’interviewer la féline Mademoiselle Catou (Jasmine pour les intimes) qui est très photogénique (cf diaporama ici https://guilaine-depis.com/jasmine-catou/) : 

1) Jasmine Catou est célèbre sur facebook, elle a des centaines d’admirateurs, qui suivent chaque jour ses passionnantes aventures
2) Jasmine Catou a déjà été choisie pour son regard si intelligent pour poser pour la couverture d’un vrai livre de maths (car l’entreprise Balustrade pour laquelle elle travaille compte parmi ses clients réguliers le Comité international des Jeux mathématiques, tous fans d’elle) ;
3) Ce n’est pas la première fois que Jasmine Catou nourrit l’inspiration d’un écrivain : avant de devenir l’héroïne principale du nouveau roman de Christian de Moliner, Jasmine Catou avait déjà inspiré un personnage de roman à l’auteur pour adolescents Eric Jeux. Elle a un grand rôle dès la page 93 du roman « Les Chimères de Karl » à partir du chapitre « Arrivée de Jasmine » ; 
4) Mademoiselle Catou (Jasmine pour les intimes) est l’assistante de l’entreprise de relations presse Balustrade ; elle fournit un travail très efficace de relecture des manuscrits et d’envois de livres aux journalistes ; 
5) Jasmine Catou est la coqueluche de nombreux écrivains, elle a par exemple déjà séduit Amélie Nothomb.(photo)
 
Je peux vous envoyer en service de presse le roman dont elle est l’héroïne ; l’idéal serait de faire un entretien avec elle sur sa vie d’assistante d’attachée de presse (cf photo jointe) d’écrivains ! Sur le site de Balustrade, Jasmine la surdouée est en page d’accueil. https://guilaine-depis.com
 
Merci de votre attention, 
Guilaine Depis 06 84 36 31 85

 

 

Les 4 vérités mettent à l’honneur Christian de Moliner pour « Islamisme radical : comment sortir de l’impasse ? »

Christian de Moliner avait publié en 2017 un article intitulé: «Partition, remède à l’islamisation?» Cet article connut un retentissement international important et suscita un large débat. L’auteur revient dans ce petit livre sur cette idée qui pourrait se résumer ainsi : accepter de donner un statut particulier à la minorité de musulmans radicaux et désireux d’être gouvernés selon la charia, en échange d’une acceptation des lois françaises. Il est douteux que cela produise un apaisement durable. Mais ce livre a au moins le mérite de mettre sur la table la question de l’incompatibilité de la charia avec nos mœurs et nos lois – et donc la question de la coexistence de deux communautés étrangères, sinon hostiles, sur notre sol.

POSTÉ LE 16 JUILLET , 2019, 2:53

 

« Islam radical : comment sortir de l’impasse ? » un essai de Christian de Moliner chez Pierre-Guillaume de Roux le 6 juin 2019

Après le succès de La Guerre de France* (retrouvez l’essentiel de la presse sur « La Guerre de France » sur ce lien https://guilaine-depis.com/category/christian-de-moliner/la-guerre-de-france/(éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2018), un haletant thriller qui imaginait une guerre civile entre les islamistes et les nationalistes, l’écrivain Christian de Moliner publiera aux mêmes éditions Pierre-Guillaume de Roux un essai corollaire à ce roman sur le même thème (guerre islamistes/nationalistes si présent dans l’actualité)

le 6 juin 2019 : (argumentaire à télécharger ici argu islamisme)

Photo ci-contre de Christian de Moliner avec Eric Zemmour

*« La Guerre de France a su capter une réelle angoisse »  VALEURS ACTUELLES 06/09/18

*« La Guerre de Franceest un très bon roman : Même si aucun avenir n’est sûr dans l’histoire, ce roman, en développant une des possibilités en germe dans notre présent, sonne, à côté de ceux de Michel Houellebecq et de Boualem Sansal, comme un avertissement.» ROBERT REDEKER 15/09/18

*« Le titre du livre n’est pas sans mettre la puce à l’oreille et faire entrer le fictif brutalement dans une actualité délicate : en effet, en juin 2018, une organisation dont le site internet était nommé « guerre de France » préparait, semble-t-il, des assassinats contre des imams et des femmes voilées. Ni l’auteur, Christian de Moliner, ni son éditeur, Pierre-Guillaume de Roux, n’en savaient rien au moment de déposer le titre du livre, qui tenait tant à cœur à son auteur depuis de longues années. » CAUSEUR 30/08/18

Contact presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Présentation de son nouveau livre à paraître le 6 juin 2019  Islamisme radical : comment sortir de l’impasse ? par Christian de Moliner – EAN : 9782363713025 – Prix : 19 euros TTC

Une minorité, seule une minorité des musulmans représente, en France, une source permanente de conflits, eux-mêmes générateurs de stigmatisation pour l’ensemble de la communauté : les islamistes dits radicaux.

D’après Christian de Moliner, seul un statut particulier doté d’une autonomie relative lui permettra de trouver son équilibre et de coexister pacifiquement avec les autres citoyens.

Les nombreux précédents historiques, présents ici et ailleurs, alimentent sa réflexion notamment sur le terrain juridique. Quelles seraient les dispositions de la charia susceptibles d’être retenues ? Jusqu’où s’étendrait l’autonomie des enclaves ainsi créées ? les droits fondamentaux édictées par notre Constitution seraient-ils préservés ?

Ni ghetto, ni zone de non-droit, ni poudrière dissimulant l’existence d’un État dans l’État, l’enclave née du statut particulier accordé à cette frange de la population française devrait, à long terme, se révéler l’instrument d’un apaisement durable et, qui sait, d’une réconciliation décisive.

Christian de Moliner, chroniqueur, essayiste, romancier, apporte, ici, un développement substantiel à l’idée qu’il avait d’abord présentée dans «Partition, remède à l’islamisation ? », un article paru surwww.causeur.fr en novembre 2017. Face au retentissement international – mais aussi aux malentendus – qu’il avait suscités, il fournit des réponses argumentées tout en démontrant sa connaissance profonde des lois islamiques issues du Coran et en anticipant les réactions des différents mouvements politiques en France.

La sélection du Prix de la Fondation Charles Oulmont (Fondation de France) compte « Juste avant ma mort » au milieu d’auteurs très célèbres de grandes maisons.

Seul face au cancer, Christian de Moliner aimerait partager ce qu’il ressent, est prêt à témoigner de ce qu’il ressent…

Le roman vrai bouleversant d’un écrivain en fin de vie regardant la mort droit dans les yeux avec dignité et recherchant un peu d’amour pour l’accompagner dans son ultime voyage

Un roman déjà sélectionné pour le Prix littéraire Fondation de France 2019 (catégorie Fondation Charles Oulmont, sous l’égide de la Fondation de France)

https://www.fondationdefrance.org/fr/fondation/fondation-charles-oulmont

Etaient présents dans la réunion du jury littéraire du 28 mars 2019 ayant retenu ce roman de Christian de Moliner : Joël Schmidt, Philippe Oulmont, Jean Picollec, Laurence Plazenet, Patricia Reznikov, Florence Roussel et Marie-JoséStrich. (avec Cécilia Dutter et Nicole Jeanson excusées)

Restent dans la course dans la catégorie Romans : Jérôme Bastianelli (Grasset), Alexis Brocas (Phébus), Hélène Frappat (Actes Sud), Cyril Gely (Albin Michel), Caroline Lamarche (Gallimard), Arnaud Leguern (Le Rocher), Didier Le Pêcheur (Lattès), François-Guillaume Lorrain (Flammarion), Isabelle Marrier (Flammarion), Colette Mazabrard (Verdier), Christian de Moliner (Picollec), Nathalie Piégay (Le Rocher), Pauline Préval (Albin Michel), Olivia Resenterra (Serge Safrzan), Gwenaëlle Robert (Robert Laffont).

Prochaine réunion du jury le 4 juin 2019 à 15h.

 

 

Breizh-info met à l’honneur « juste avant ma mort » de Christian de Moliner aux éditions Jean Picollec

Interview de Christian de Moliner sur Breizh-info https://www.breizh-info.com/2019/04/02/115308/interview-christian-de-moliner-roman-juste-avant-ma-mort

Christian de Moliner vient de publier un roman, Juste avant ma mort, chez l’éditeur breton Jean Picollec. Jean Picollec qui est un « menhir » du petit monde de l’édition parisienne n’a jamais oublié ses racines bretonnes. Notamment, il a mis en place et anime le prix Bretagne décerné chaque année à un ouvrage qui parle de cette belle région. Au stand qu’il tient chaque année au salon du livre de Paris, nombre de ses « compatriotes » viennent le saluer, car ils savent qu’ils recevront le meilleur accueil.

Juste avant ma mort de Christian de MOLINER, éditions Jean Picollec, 14 € 

Augustin Miroux est au stade terminal de son cancer du poumon. Meurtri par l’attitude de sa femme qui envisage sa vie sans lui, il se réfugie dans sa ville natale, Dijon, pour se replonger dans son passé. Il contacte la fille d’une camarade de classe, dont il redoute d’avoir jadis provoqué le suicide, et se fait passer auprès d’elle pour son père qu’elle n’a pas connu. Lui, qui est froid et distant avec ses trois fils, construit rapidement une relation chaleureuse avec sa fausse fille, mais celle-ci dérape et Augustin est à nouveau saisi par le vertige du mal. Sombrera-t-il comme jadis dans une turpitude déshonorante ? Parviendra-t-il à dompter ses démons ? Ce roman poignant, au suspense prenant, dresse le portrait attachant de deux êtres qui essayent, en se rapprochant, de donner un sens à leur vie marquée jusqu’alors par la solitude.

Breizh Info : Votre héros, Augustin Miroux, est professeur agrégé de mathématiques comme vous. Est-ce un ouvrage autobiographique ?

Christian de MOLINER : J’ai prêté en effet quelques-uns de mes traits à mon personnage : ses études au lycée Carnot de Dijon, son agrégation de mathématiques et surtout sa maladie. Comme lui, je suis atteint d’un cancer du poumon d’origine génétique alors que je n’ai jamais fumé. Mais la comparaison s’arrête là : j’ai une fille et non trois garçons et surtout j’espère être plus sympathique que mon « héros » ! Augustin est égocentrique, peu ouvert sur les autres. Alors que l’issue fatale se rapproche, il est désemparé, car il se sent seul, bien qu’il soit marié et qu’il ait trois fils.

Breizh Info : Le personnage qui devient plus humain alors qu’il va mourir est un grand classique de la littérature !

Christian de MOLINER : J’ai essayé d’être original sur ce sujet qui, en effet, a été traité dans de multiples romans et le plus souvent de la même façon. La « rédemption » d’Augustin est ambiguë et s’appuie sur une forfaiture. Il se fait passer pour son père auprès de Caroline, la fille d’une ancienne camarade de classe dont il redoute d’avoir provoqué le suicide. Arrivera-t-il à avouer la vérité à Caroline ?

Breizh Info : Qu’est-ce que la G.S.A dont est atteinte Caroline ?

Christian de MOLINER : En anglo-saxon, « genetic sexual attirance », en français « attirance sexuelle génétique ». C’est un trouble hypothétique qui frappe un frère et une sœur, un père et une fille, une mère et un fils qui ont été séparés à l’enfance et ne se retrouvent qu’à l’âge adulte. Celui qui est atteint de cette névrose confond attirance affective et sexuelle.

Breizh Info : Juste avant ma mort est le deuxième tome d’une série Les voyages glacés. N’est-ce pas gênant ?

Christian de MOLINER : Ce roman est autonome et il n’est nul besoin d’avoir lu le premier opus, Thanatos et Éros, pour suivre l’intrigue. Je suis en train de finir le dernier tome qui s’intitulera L’orée de la nuit. Lui sera entièrement autonome.

Breizh Info : Votre roman se déroule à Dijon.

Christian de MOLINER : En effet ! La capitale des ducs de Bourgogne est effectivement un des personnages de mon livre, et Jennifer Monot de Francenet.info, qui a écrit une critique de mon ouvrage et qui a vécu à Dijon, l’a bien souligné.

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