Agnès Niox-Château réalise l’émission « Empreinte » avec Jérôme-Arnaud Wagner sur Radio IDFM Enghien samedi 14 juin 2014

Agnès Niox-Château réalise l’émission « Empreinte » avec Jérôme-Arnaud Wagner sur Radio IDFM Enghien samedi 14 juin 2014.

Elle place ainsi l’été sous le signe de La femme de ma deuxième vie.

Après le « coup de coeur » de France Bleu par Audrey Szebesta, ce second « coup de coeur » est d’excellent augure : les radios recommandent clairement La femme de ma deuxième vie !

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La Librairie Fontaine Hugo organise une belle soirée autour du livre de Marie-Hélène Grinfeder (12 juin 2014)

Jeudi 12 juin 2014, la Librairie Fontaine Hugo a mis les petits plats dans les grands pour recevoir Marie-Hélène Grinfeder. Les lecteurs ont défilé toute la soirée, l’auteur, attentif, leur a accordé du temps, des mots, à chacun comme elle sait si bien faire. Un enchantement !

Si vous l’avez ratée à cette date, rendez-vous le 25 juin à la Librairie Fontaine Haussmann, 50 rue de Laborde dans le 8ème, pour une autre soirée de rencontre avec Marie-Hélène Grinfeder.

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Les Petites Affiches des Alpes-Maritimes recensent le polar de Marie-Hélène Grinfeder (12 juin 2014)

Voici l’article d’Elsa Comiot publié en page 7 du journal Les Petites Affiches des Alpes-Maritimes du 12 juin 2014

 

Elsa COMIOT, Rédactrice en Chef Les Petites Affiches des Alpes-Maritimes

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FRANCE – LIVRE

Vente aux enchères : on lève le voile. Dans le roman Les Jeux de l’art et de l’argent, l’auteur Marie-Hélène GRINFEDER montre le monde périlleux et fascinant du marché de l’art.

Ce polar frappe par la surenchère d’action et la folie contagieuse de ses personnages qui évoluent dans un monde clos régi par

la démesure et ponctué par les crimes passionnels.

Protégée par la fiction, l’auteur du livre Les années supports surfaces (Herscher, 1991) s’en donne ici à coeur-joie pour décrire, comme cela n’a encore jamais été fait, les milieux de la vente aux enchères, de la spéculation en matière artistique et de la folie magique de l’art. Marie-Hélène GRINFEDER est historienne de l’art et expert en art du XXème siècle et en art contemporain. Elle est membre de l’Association Internationale des Critiques d’Art.

Alan Argoul, enseignant, a testé les quatre romans de Stéphanie Benson (7 juin 2014)

Parler anglais sur le bout de la langue

Publié le 7 juin 2014 par argoul

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Les éditions Syros viennent de mettre au point un « concept » : parler anglais en s’amusant. Il s’agit de petits livres de 100 pages, écrits gros et illustrés en noir et blanc, qui racontent une aventure à la portée des 10-13 ans. L’idée est qu’ils commencent en français, le lecteur pouvant se mettre dans la peau d’un jeune héros (garçon ou fille) de son âge. Le personnage vit une histoire et progresse en anglais parce qu’il a envie d’en savoir plus.

 

Au début, les explications des mots difficiles sont effectuées par un adulte dans l’histoire ; par la suite, un dictionnaire ou un traducteur électronique suffit ; à la fin, le seul contexte permet de comprendre. L’idée est intéressante, le bain passant du chaud au froid progressivement, l’intrigue étant là pour captiver et donner envie d’en savoir plus. Seul le réglage des transitions est parfois délicat. Dans le livre que j’ai lu de bout en bout, Tom et le secret du Haunted Castle, les explications sont un peu lourdes au début ; à l’inverse, elles cessent brutalement vers le second tiers. La progression n’est pas linéaire.

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Mais le jeune lecteur (mâle ou femelle, la langue française utilisant le masculin pour le neutre), peut aussi télécharger gratuitement chaque histoire en MP3 sur le site. Par exemple, pour le livre ci-dessus, à l’adresse http://tom.syros.fr. Il aura donc l’écrit et l’oral pour suivre et réviser.

 

Pour le moment, quatre titres sont parus, deux mettant en scène des filles et deux des garçons ayant juste l’âge des bases en anglais et commençant à acquérir le vocabulaire, soit vers 10 ou 12 ans. Une autre idée est de varier les régions anglophones (jusqu’ici Écosse, Irlande, Londres, sud-anglais), tout en conservant un anglais standard pas trop compliqué. Les personnages guident le sens, s’adressant à de Young French boys ou French girls.

L’auteur est anglaise, arrivée à 22 ans en France où elle vit et rédige notamment des romans policiers et histoires pour enfants (plus de 40 titres). Mais elle est reconnue officiellement par l’Éducation nationale comme Maître de conférences en anglais à l’Université Bordeaux-Montaigne. De quoi « rassurer » les parents trop français qui révèrent le scolaire et se prosternent devant les parchemins tamponnés par l’État.

Stéphanie Benson, Tom et le secret du Haunted Castle, 2014, éditions Syros, 103 pages, €6.60

Du même auteur et dans la même collection :

                Peter et le mystère du Headless Man

                Hannah et le trésor du Dangerous Elf

                Lilith et la vengeance du Dark Magician 

Site pédagogique de l’université dédié à cette nouvelle collection didactique : http://www.tiptongue.u-bordeaux-montaigne.fr Attachée de presse de la collection : Guilaine Depis, guilaine_depis@yahoo.com

Corse-Matin highly recommended Tip Tongue ! Merci à Christophe Laurent pour sa lecture enthousiaste (7 juin 2014)

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Par Christophe Laurent
reporter Corse-Matin

Peter et le mystère du Headless Man de Stéphanie Benson

Les grandes vacances approchent et c’est une sinécure de faire lire un livre aux enfants. Et de leur faire réviser leur anglais. Les excellentes éditions Syros (Marin Ledun, Tim Willocks) inaugurent la collection Tip Tongue avec Stéphanie Benson (Un singe sur le dos). Les livres, sous formes d’enquêtes policières, s’adressent aux 10-15 ans, commencent par du français puis insèrent, page par page, des tournures anglaises, puis des phrases entières et des pages entières. C’est astucieux et pédagogique. 

Dans Peter et le mystère du Headless Man (quatre romans dans la collection), il est question d’un jeune français qui se rend chez des cousins anglais, d’une apparition, d’un fantôme. Highly recommended !

Peter et le mystère du Headless Man de Stéphanie Benson

Éditions Syros, 105 pages, 6,95€

Michel Field invite Richard Sartène sur LCI alors que François Hollande fait son discours sur le 70ème anniversaire du débarquement de Normandie (6 juin 2014)

Lors d’une grande émission télé sur LCI de « 5 à 7 » Spéciale débarquement de Normandie, le 6 juin 2014, Michel Field a choisi d’inviter Richard Sartène à présenter son livre Une enfance entre Guerre et Paix (Éditions du Net) et à commenter les commémorations officielles depuis le plateau de Boulogne-Billancourt aux côtés de l’ancien résistant Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Max Gallo et Gilles Perrault. À revoir ici http://youtu.be/50M7cBNwlBg

Merci à Daniel Sartène pour sa précieuse collaboration technique.

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Ségolène Bonura trouve que le livre de Christian Ehrhart est « quelque chose de très fort » (5 juin 2014)

Pampoune – Lectures (recension du 5 juin 2014)

 

Les chroniques d’Injambakkam de Christian Ehrhart

 

Montez dans le rickshaw pour parcourir lentement et sans confort mes aventures et mésaventures. Vous n’éviterez pas les ornières, il n’y a pas d’amortisseurs. Le klaxon vous assourdira. Votre avancée au fil des chroniques sera lente et chaotique. C’est le meilleur moyen de transport pour les parcourir. De cancer en rémission, de questions scientifiques en instantanés monochromes, sur fond de littérature et de musique, vous atterrirez dans un Tamil Nadu en pleine explosion économique. Comme à Chennai si vous n’êtes pas indien, le prix sera exorbitant mais souvent négociable. Cinq ans de tranche de vie d’un résilient à la curiosité inassouvie. Ces chroniques sont issues du blog que je tiens depuis le début de mes expatriations et surtout depuis la fin de ma vie tranquille de cadre supérieur banlieusard.

 

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Alors qu’il est atteint d’un cancer, Christian Ehrhart ouvre un blog sur lequel il évoquera sa maladie mais aussi cette société dont nous sommes prisonniers avant de raconter l’Inde dans son quotidien avec passion comme un autre monde s’ouvrant à lui.

 

Je tiens tout d’abord à remercier Guilaine Depis qui m’a non seulement permis de découvrir ce livre qui m’a en plus fait la surprise de me l’envoyer alors que je m’y attendais pas du tout.

 

En 2009, l’auteur se fait soigner pour un cancer. Au lieu de se morfondre, il passe du temps à gérer un blog où il raconte son quotidien. Et puis, bientôt, le blog devient un plaidoyer contre la société pour poser des mots sur tout ce qui ne va pas dans notre pays. L’histoire pourrait s’arrêter là mais un jour l’auteur partira en Inde et son blog deviendra un hymne à la vie et à ce pays si éloigné du notre dans tous les sens du terme.

 

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Voici un livre que l’on n’arrive pas trop à caser dans une catégorie. En effet, on retrouve ici le principe du témoignage mais aussi le travail des articles de société sans oublier le genre du récit de voyage qui permet un superbe moment d’évasion.

Mais ce livre n’était au départ pas destiné à être un livre. A l’origine, les articles que propose l’auteur et que l’on peut lire au fil de l’ouvrage étaient les articles d’un blog tenu par l’auteur, un blog que Bloggingbooks a repéré et a proposé de publié en format livre.

 

Nous découvrons donc avec ce livre le travail de bloggeur de l’auteur qui, jour après jour, raconte ce qui lui déplait dans notre société, nous parle de ses épreuves et nous raconte ce qu’il voit avec à la fois beaucoup de force, beaucoup d’espoir et sans jamais se plaindre.

Car ce qui est incroyable avec ce livre c’est que l’on oublie très vite qu’il s’agit d’articles écrits au jour le jour et non pas un ensemble écrit dans le but d’un livre. D’ailleurs, la plume de l’auteur en témoigne : il nous entraine avec lui grâce à des articles travaillés et grâce à un « vrai » style qui contraste avec ce que l’on nomme « la rapidité du net ».

 

En nous plongeant dans les articles de l’auteur, nous effectuons en quelque sorte un bond dans le temps en retrouvant les sujets de société qui ont fait couler beaucoup d’encre à un moment donné mais, dans le même temps, les articles du blog restent les éléments d’un témoignage quotidien dans la lutte contre la maladie et dans l’émerveillement d’un pays bien différent : l’Inde.

 

Alors certes, la couverture de ce livre ne paye pas de mine et on pourrait se dire que le contenu n’est qu’un témoignage de plus. Ca, c’est ce que l’on pourrait dire avant de lire l’ouvrage et on se tromperait lourdement.

Ce livre, c’est bien plus que cela car au fil de ses articles l’auteur joue avec les genres et les codes en nous permettant de ressentir le plus possible ce qu’il ressent et nous montrant au maximum ce qu’il voit.

 

En bref, je n’aurais sans doute jamais eu idée d’aller découvrir ce roman sans ce service de presse et je serais vraiment passée à côté de quelque chose de très fort.

Bravo à l’auteur pour son courage et à la maison d’édition pour son idée d’avoir publier tous ces articles en un volume.