Ce roman est la suite du Destin bousculé (Laffont, 1986), récit autobiographique qui avait provoqué une tornade médiatique (Le Figaro, Le Point, L’Express, Télé 7 jours, Elle…) et des éloges flatteurs :
· Robert LAFFONT : « (…) Durant ma vie de cinéaste et d’éditeur, j’ai rencontré des politiques en panne de publicité, des malfrats repentis, des forçats (Papillon), mais une vie comme la vôtre, jamais ! »
Mais, que reste-t-il du gamin aux galoches cloutées ? Pourquoi cette fuite en avant ? Pour séduire la mère qui l’a abandonné, lui donner des regrets, et l’entendre enfin prononcer ces mots obscènes et maudits qu’il n’a jamais entendus : « Mon fils ». Cette mère impossible, ne l’a-t-il pas trop rêvée ?
L’auteur : Claude Rodhain
– 1986 : 2ème prix des lectrices du magazine ELLE ;
– 2000 : 1er prix du roman au concours littéraire Maestro ;
– 2017 : Prix Scriborom.
Ingénieur-brevet dans un important cabinet parisien, spécialisé en propriété industrielle, responsable des services techniques, puis fondé de pouvoir, il quitte l’entreprise, après le décès de son fondateur. Ayant réussi l’examen et obtenu le titre de Conseil en Propriété Industrielle délivré par l’INPI, il fonde son propre cabinet à Paris, en 1974. Au bout de 20 ans, son entité, forte de plus de 40 ans collaborateurs, (ingénieurs, juristes et traducteurs) représente les intérêts de près de 1.000 entreprises, dont une bonne centaine de multinationales, telles que Agence Spatiale Européenne, J.C.Decaux, Robert Bosch, Guerlain, Samsung, la Ratp, M.A.N, Mitsubishi, Monsanto, JVC, Job, Kobe Steel…
Trésorier, puis secrétaire de la Compagnie Nationale des Conseils en propriété industrielle, il est, durant 15 ans, chargé d’enseignement à HEC, au C.N.A.M et à PARIS VI où il forme plusieurs milliers de jeunes ingénieurs et juristes. Il cède son cabinet en 1994 à un groupe européen et rejoint le barreau de Paris. Avocat certifié en propriété industrielle, il a plaidé durant 20 ans de nombreux dossiers de brevets, marques, modèles et droit d’auteur.
Commandeur dans l’Ordre National du Mérite, il obtient le titre « d’avocat honoraire », délivré par le Conseil de l’ordre. Il assure enfin, durant 25 ans, la vice-présidence de l’association caritative Cent familles, présidée par son fondateur Jean-Luc Lahaye.