Dreyfus Louyebo et Espoir du monde : un nouveau livre vient de paraître !

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POLITIQUE, INSERTION ET JEUNESSE :

L’ESPOIR DU MONDE

Par Dreyfus LOUYEBO

Être au plus près de la population et des acteurs socio-économiques d’un territoire est sans conteste l’une des clés nécessaires à la réussite de l’insertion.

Plus qu’une crise financière, nous vivons actuellement une crise économique et sociale sans précédent. Les inégalités se creusent et toute une frange de la population se sent laissée pour compte.

À cette crise majeure et face à une compétitivité grandissante des entreprises, la jeunesse se trouve confrontée à des emplois précaires et accède difficilement à un premier emploi stable.

C’est donc à travers un nouveau regard et des idées innovantes que Dreyfus Louyebo nous aide à mieux comprendre comment réussir l’insertion sociale et professionnelle des jeunes.

Vous l’aurez ainsi compris, que vous soyez homme ou femme politique, chef d’entreprise ou employé, jeune ou simple citoyen, ce livre s’adresse à toutes les personnes qui oeuvrent en faveur de l’insertion des jeunes.   

DREYFUS LOUYEBO est le fondateur de l’association Espoir Du Monde. Après avoir été formé sur la politique de la ville et après s’être investi pendant plusieurs années dans de nombreux projets associatifs, il est aujourd’hui porte-parole du Cercle International de Réflexion Politique. S’appuyant sur une véritable expérience de terrain pour la réalisation de son ouvrage POLITIQUE, INSERTION ET JEUNESSE : L’ESPOIR DU MONDE chez L’Harmattan, il part d’un constat d’échec des politiques publiques pour proposer des solutions concrètes en matière d’insertion des jeunes. 

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Philippe Barrot crée sa maison d’édition : CHRONIQUES DU ÇÀ ET LÀ

ca et la argu GUILAINE.jpgChroniques du çà et là Éditions

Naissance le 14 octobre 2013 avec la parution simultannée de deux recueils de nouvelles très littéraires et philosophiques :

Connaître et apprécier de Guillermo de La Roca

et Nouvelles bartlebyennes d’Emmanuel Steiner

La révolution numérique a balayé par ses tempêtes d’octets le territoire du livre-papier pour le transformer en fichiers consultables sur la grande toile. Les éditions Chroniques du çà et là prétendraient-elles résister à l’air du temps ? Elles perpétuent un plaisir des sens : palper un livre, sentir son poids de papier, respirer l’odeur de l’encre…, partager une exploration : dans la rigueur de l’écriture la découverte de nouveaux talents dont la base de recrutement sociologique au contraire de la plupart des éditeurs (ce que démontre si remarquablement Bourdieu dans les Règles de l’art) ne se limitera pas à quelque sphère élitiste.

Des points de repères situeront les Chroniques du çà et là : le caustique, l’absurde, le dérisoire, le satirique, en privilégiant la forme courte ainsi les deux premiers ouvrages publiés sont-ils des recueils de nouvelles.

Un choix et une singularité que les éditions des Chroniques du çà et là poursui-vront dans un esprit d’indépendance sans exclure une incursion en territoire policier.

1174824_10151656292673995_565404239_n.jpgPhilippe Barrot, le fondateur des Chroniques du çà et là, a depuis une trentaine d’années, l’expérience des métiers du livre ; il a collaboré avec de grands éditeurs dont Maurice Nadeau durant une dizaine d’années.
Philippe Barrot est l’auteur de plusieurs romans, il a créé en 2011 la revue semestrielle qui porte le nom des éditions Chroniques du çà et là. 

attachée de presse : Guilaine Depis / 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com

Résumé du livre de Frédéric Bizard « COMPLÉMENTAIRES SANTÉ : LE SCANDALE » (parution le 9 octobre 2013 aux Éditions DUNOD)

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COMPLÉMENTAIRES SANTÉ : LE SCANDALE !

DE FRÉDÉRIC BIZARD

PARUTION LE 9 OCTOBRE 2013 AUX ÉDITIONS DUNOD

Un système de financement inefficient, injuste et à bout de soufflé

        Près de la moitié des contrats ne remboursent quasiment que les tickets modérateurs, cette part du prix des actes médicaux non remboursée par l’assurance maladie pour responsabiliser les assurés et limiter les dépenses dans le modèle de 1945. Cela déresponsabilise les individus dans leurs dépenses de soins et incite à consommer des services et biens médicaux, aux dépens de l’assurance maladie qui reste le principal payeur.

        Le droit à souscrire une complémentaire santé est dépendant de son statut professionnel, ce qui est la source d’une grande injustice sociale. Les cadres des grands groupes sont les mieux protégés, les chômeurs et retraités modestes les moins bien protégés. Sans compter que ces derniers n’ont pas le droit de souscrire pour le même prix  des contrats de qualité équivalente aux premiers. On a donc un système qui créé de l’inégalité en défaveur des plus défavorisés, l’inverse de la justice sociale. Tout ceci subventionné largement par les pouvoirs publics qui renforcent cette injustice (4 milliards € pour les contrats collectifs).

        Malgré une hausse continue et forte des primes des contrats ces dernières années, les complémentaires santé se sont révélées incapables d’assurer un relai satisfaisant au désengagement de l’assurance maladie dans les soins courants et ne participent pas à la gestion du risque malgré les 33 milliards de cotisations par an. Le résultat est une érosion de la qualité de la protection financière des assurés en santé.

Des pratiques et des situations scandaleuses des organismes complémentaires (OC) qui pénalisent lourdement l’assuré

        Les frais de gestion augmentent sans cesse au sein des OC, avec un record de frais d’administration pour les mutuelles (2,2 milliards€ soit 12% des cotisations), ce qui réduit d’autant la marge de manœuvre de ces mutuelles pour rembourser correctement leurs assurés.

        Il s’ensuit des ratios de qualité de couverture/prix en baisse constante, ce qui condamne de plus en plus de contrats à une rentabilité impossible pour les assurés.

        Pour faire face à ce phénomène, les OC s’efforcent de conserver le marché le plus opaque possible : contrats illisibles, pratiques commerciales flous, impossibilité de comparer le rapport qualité/prix des contrats (même sur internet) ; le tout enrobé dans plus de 2,3 milliards € de matraquage en communication pour convaincre tout le monde qu’un contrat santé reste indispensable. Le défaut d’information accessible sur le contenu des contrats est une autre source d’inégalités puisque cela nuit en priorité aux plus défavorisés. Seuls les personnes les plus éduquées et disposant de la bonne information savent … qu’elles n’ont probablement pas intérêt à souscrire à un contrat de complémentaire santé.

        Les valeurs mutualistes sont brandies en étendard dans les communications institutionnelles et opérationnelles et foulées au pied dans les pratiques. Tout est fait pour réduire les libertés de choix, déresponsabiliser les assurés et éviter la transparence. Quant à la solidarité, elles ne bénéficient pas en priorité aux assurés et certainement pas aux plus modestes.

Un programme politique annoncé qui va renforcer l’inefficience et l’injustice de ce système

        La généralisation à tous les Français de la complémentaire santé promise en octobre 2012 par le Président, dans de telles conditions de marché de l’assurance maladie complémentaire, ne peut bénéficier qu’aux seuls OC et aggraver les déficits publics, les inégalités et la hausse des dépenses de santé.

        La priorité n’est pas la généralisation à tous les Français de ce système défaillant mais la restructuration du secteur pour permettre aux assurés de souscrire des contrats adaptés à leurs besoins et au juste prix, de redonner le pouvoir et la liberté  à l’assuré  d’agir en connaissance de cause pour son assurance complémentaire, de favoriser la transparence du marché au bénéfice de l’assuré.

        La mise en place de réseaux de soins, concept que les Etats-Unis ont largement utilisés pour le plus grand malheur des Américains, ne sert là encore que les intérêts des OC. Les réseaux sont antinomiques avec une égalité d’accès  à des soins de qualité pour tous.

 

Même une restructuration du secteur des OC n’épargnera pas le pays d’une refonte du financement de son système de santé, qui doit être pensé dans un programme large de refondation de notre modèle social, pour l’adapter aux nouveaux enjeux sanitaires, économiques et sociaux du XXIème siècle.

Biographie et bibliographie de Frédéric Bizard

images-1.jpegFrédéric BIZARD 

Economiste de la santé, Frédéric Bizard travaille depuis plus de quinze ans dans la santé aux États-Unis et en Europe, en étroite collaboration avec le monde médical. Il est aujourd’hui un spécialiste reconnu des questions de santé en France.

Il dirige actuellement la société Salamati Conseil, société de conseil spécialisée sur les questions de santé publique et de stratégie d’entreprise sur le secteur de la santé. 

Il  est Maitre de Conférences à Sciences Po Paris où il enseigne depuis 2007.

À paraître le 9 octobre 2013 aux Éditions Dunod :

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Bibliographie


Livre 

« Une ordonnance pour la France : 10 pistes de réforme pour une santé plus juste, plus efficace et plus économe », aux Editions Thierry Souccar (2012). Préface du Professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine et Membre de l’Académie de médecine.


Rapport

Pour l’Institut Thomas More, « Refonder notre modèle social : Pourquoi ? Comment ? », Juillet 2013

 

Publications récentes

   «  Refonder le modèle social français | Pourquoi ? Comment ? », Huffington Post, 3 juillet 2013

   « Pourquoi le Parlement ne devrait pas voter en faveur de l’ANI », Huffington Post, 2 mai 2013

  « Lutte contre le(s) cancer(s): les défis de la médecine personnalisée! » , Huffington Post, 4 février 2013

  «  Pilules contraceptives: la France est-elle condamnée à rester nulle en santé publique? », Huffington Post, 29 janvier 2013

  «  Alerte à l’étatisation de notre système de santé ! », Le Figaro, 26 décembre 2012

   «  Pourquoi le gouvernement souhaite-t-il la disparition des médecins libéraux ? », Huffington post, 12 novembre 2012

  «  Dépassements d’honoraires : un accord pour sauver le soldat Touraine », Huffington Post, 24 octobre 2012

        « Ne traitons pas les médecins comme des délinquants !», avec le Professeur Jean-Pierre Olié, membre de l’Académie de médecine, Huffington Post, 7 octobre 2012

        « Politique de santé, le déni de réalité du gouvernement Ayrault», Huffington Post, 13 Septembre 2012 et les cahiers hospitaliers d’octobre 2012

        « Repenser notre système de santé », Le concours médical, Septembre 2012

        « Les déserts médicaux ou 30 ans d’échec des politiques publiques», Huffington Post, 16 août 2012

        « Le faux débat des dépassements d’honoraires médicaux », Le Figaro, 18 juillet 2012

        « La santé publique en France, un bric-à-brac inefficace ? », Les cahiers hospitaliers de Juin 2012

        « Repenser notre politique de santé », avec le Professeur Luc Montagnier, Le Figaro, 13 avril 2012

 

        « Anticipons le passage d’une médecine curative à une médecine prédictive », avec le Professeur Luc Montagnier, Le Monde, 14 mars 2012