Le Salon des Maths invité à l’Ecole Supérieure de Journalisme, ESJ (15 mai 2014)

Ce jeudi 15 mai de 11h à 12h30, Hervé Lehning, Mickaël Launay et Guilaine Depis ont été invités par Gilles Brochard, Professeur à l’École Supérieure de Journalisme (ESJ), 107 rue de Tolbiac, à présenter aux étudiants le 15ème Salon Culture et Jeux Mathématiques.

Présentation du site de l’ESJ : 

Hervé LEHNING, invité de l’ESJ jeudi 15 mai 2014

A l’occasion du « Salon Culture et jeux mathématiques 2014 » qui se tient du 22 au 25 mai place Saint Sulpice à Paris (6e),  dont le thème cette année est « Mathématiques au carrefour des cultures »,  nous recevrons le mathématicien Hervé LEHNING pour une  conférence-débat, le jeudi 15 mai de 11 h à 12 h 30.
Auteur de Mathématiques par l’informatique individuelle (4 tomes, éditions Masson, 1982-84) et de L’univers des nombres de l’Antiquité à internet (Ixelles, 2013), il est rédacteur en chef de la revue Tangente. Le thème de sa conférence portera sur la culture et les mathématiques, un axe de réflexion qu’il connaît bien puisqu’Hervé Lehning est à la fois peintre et photographe

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Argoul évoque un roman « beau, entraînant, captivant » à la fin de sa lecture de « La femme de ma deuxième vie » de Jérôme-Arnaud Wagner (15 mai 2014)

4181987231.jpgJérôme-Arnaud Wagner, La femme de ma deuxième vie

Publié le 15 mai 2014 par argoul 


L’amour est plus fort que la mort ! Ce puissant mythe est revivifié en français contemporain par un cadre des médias admirateur de Love Story. C’est beau, entraînant, captivant – le lecteur ou la lectrice ont envie d’y croire. En près de 400 pages, ils le peuvent, s’isolant du monde comme dans une bulle irisée où ni le temps ni l’espace ne comptent plus. Un bel exercice romanesque qui poursuit un récit tristement véridique : la disparition de son épouse, écrite par l’auteur dans un précédent livre : N’oublie pas que je t’aime (2010).

Capture d’écran 2014-05-15 à 14.34.09.pngSans cesse, Jérôme-Arnaud ressasse la disparition de l’amante fusionnelle, Emmanuelle, disparue à 35 ans dans un hôpital pour cause de mauvaise administration. Elle lui a laissé deux enfants, garçons jumeaux de quatre ans qu’il va s’efforcer d’élever seul. Reviens mon ange(2012) s’égarait déjà vers le roman pour chanter le même amour, avec une tentation policière. Cette fois, l’auteur réunit les deux avec un brio sans conteste. Imaginez un couple idéal, beau, parisien, aimant, deux enfants ; un soir de Noël, l’épouse est séparée de son époux parce que la porte du métro bondé se referme avant qu’elle ait pu monter. Nul ne la reverra plus – ou plutôt jamais en chair et en os, mais peut-être en rêve, ou bien… A-t-elle disparue volontairement, puisque son corps n’a pas été retrouvé ? Sinon, qui peut être son assassin ?

Wagner écrit dans le troisième volume de sa (peut-être) tétralogie, sa conviction que rien n’est jamais perdu, que rien n’est perdu à jamais, que le mot « jamais » ne saurait exister. Un jour, quelque part, sur cette terre ou au-delà, les amants se rejoignent car l’amour transcende la mort… Mais ici-bas, en attendant, il faut bien vivre. Et c’est ce contraste qui donne du ressort à l’histoire. Raphaël a perdu Laura ; il ne l’oubliera jamais mais rencontre Aurélie ; il l’aime, ils se marient, elle est une mère pour les jumeaux orphelins, confortés jusqu’ici par leur parrain Marc (beau portrait de parrain, si utile à la construction des enfants). Aurélie n’est pas la femme de sa vie, mais la femme de sa deuxième vie : où vous apprendrez le distinguo subtil entre « âme jumelle » et « âme primordiale » – la première fusionne avec vous, la seconde vous complète. Mais c’est toujours l’Amour, peu importe quel vecteur il prend.

Ce romancier-philosophe de l’amour parsème son livre de citations des acteurs et chanteurs aussi profondes que la mode… Sa leçon du vivre est un kit pratique de survie pour ménagères de moins de 50 ans : il faut avant tout penser au présent, sans se perdre dans le passé ni fantasmer trop sur l’avenir. Mais cette philosophie de magazine fonctionne : on a envie d’y croire. Le présent, ce sont les enfants qui ont besoin d’un père, la seconde épousée qui a besoin d’être aimée, France-Télévision qui a besoin d’un professionnel, la police qui a besoin de poursuivre l’enquête.

Capture d’écran 2014-05-15 à 14.35.29.pngLa vision de l’auteur, écrivain dès l’âge de 11 ans mais baignant dans la com, reste désastreusement américaine. Ce français qui écrit est acculturé, brossant sans nuance un portrait « d’inspecteur » de police issu des romans noirs newyorkais des années 50 avec imper, chapeau et whisky, une image surréaliste de policiers sortant « leurs colts », un autre portrait de psychiatre suisse allemand de caricature qui établit un diagnostic au mépris de toute procédure réaliste, un idéal typiquement américain monomaniaque de « transparence » dans le couple, une vision hollywoodienne de la mort comme couloir des âmes vers le paradis où « Dieu » les accueille, un sentimentalisme d’amour fusionnel rose bonbon à la Love Story

Le lecteur littéraire et français voit qu’on se moque un peu de lui, au moins dans l’absence de cette obsession – pourtant elle aussi bien américaine – du détail vrai : il y a bien longtemps en France que l’on ne dit plus « inspecteur » mais lieutenant ou capitaine, et les policiers parisiens n’ont jamais été armés de « colts » mais d’un bon vieux Sig-Sauer. Il aurait suffit de solliciter les deux ados de l’auteur, probablement adeptes de Wikipedia, pour l’apprendre en deux minutes… Légèreté française ? Relecture non travaillée ? Inculture de masse ? C’est un peu dommage, d’autant que p.219 Aurélie évoque devant les enfants de 10 ans l’accusation de meurtre portée contre leur père sans que ceux-ci n’y fassent attention ni s’en émeuvent le moins du monde ! Est-ce bien réaliste ?

Mais au total le positif l’emporte. Il y a du romanesque, de l’idéal et de l’action. Le roman est dynamique et généreux, il laisse confiant en l’avenir et dans l’amour entre les êtres – malgré tout. « L’amour, c’est Dieu lui-même (…) Et il a tous les visages» p.233. Le mot « Dieu » peut désigner l’énergie qui meut l’univers, comme le croyaient les stoïciens, ou Brahman, l’esprit de l’univers, comme le croient les yogis – chacun met ce qu’il croit dans ce concept-valise accessible sans avoir fait d’études.

Capture d’écran 2014-05-15 à 14.35.51.pngAmour en couple, reconstruction après décès du partenaire, fidélité dans le mariage, attention portée aux enfants – ces valeurs de tradition sont ici revivifiées et actualisée d’un souffle salvateur. Ni le superficiel de la baise, ni le virtuel des « amis » ne remplacent les véritables relations humaines. Ce n’est rien de le dire, c’est mieux avec talent. La raison n’est rien sans les passions, qui elles-mêmes ne sauraient vivre sans les pulsions. L’amour est cette synthèse qu’opère « l’intelligence du cœur ». Et ce beau roman d’amour, malgré tout, emporte sur ses ailes.

Jérôme-Arnaud Wagner, La femme de ma deuxième vie, 2014, éditions Les nouveaux auteurs, 388 pages, €18.00

   Le site de l’auteur

   Wikibiode l’auteur

Attachée de presse Guilaine Depis, son site, son courriel guilaine_depis@yahoo.com

Ségolène BONURA, première lectrice enthousiaste de « La femme de ma deuxième vie » de Jérôme-Arnaud Wagner (13 mai 2014)

Pampoune, première lectrice de Jérôme-Arnaud Wagner 

blog : http://pampoune-lectures.over-blog.com/article-la-femme-de-ma-deuxieme-vie-jerome-arnaud-wagner-123608253.html

 

4181987231.jpgRaphaël (qui est l’auteur à la première personne), journaliste et écrivain issu d’une famille bourgeoise, idéaliste qui jusque-là désespérait du grand amour, tombe soudain fou amoureux de Laura, une comédienne qu’il voit la première fois sur les planches au théâtre, femme d’une grande beauté d’origine indienne, qui est une enfant de la DAS. Après ce coup de foudre fulgurant qui s’avère réciproque, ils se marient malgré les critiques familiales, et ont des jumeaux Jules et Matisse. Alors que ces derniers viennent d’avoir quatre ans et qu’ils s’apprêtent à fêter le réveillon de Noël avec leurs parents et leur parrain Marc, l’éditeur et meilleur ami de Raphaël, le pire se produit. Laura, que Raphaël a quitté sur un quai de métro, disparaît soudainement. L’Inspecteur Pouriakov chargé de l’enquête appellera Raphaël dans la nuit pour lui annoncer que toutes les affaires de sa femme ont été retrouvées flottant sur la Seine, sous le Pont Neuf, d’où elle a été probablement précipitée par un déséquibré. Même si le corps ne sera jamais retrouvé, la Police finit par classe l’affaire et par conclure à la mort de la jeune femme.

 

Le premier soir où Raphaël voit Laura sur la scène d’un théâtre, c’est le coup de foudre. Très vite, de leur union, naît des jumeaux et la vie semble leur est clémante. Et puis, un soir de Noël, c’est le drame : Laura disparait sans laisser de trace, on ne retrouvera pas son assassin. Plusieurs années plus tard, Raphaël rencontrera Aurélie qui tentera de lui apporter du bonheur malgré les fantômes du passé.

 

Capture d’écran 2014-05-15 à 14.24.12.pngJe tiens tout d’abord à remercier les Nouveaux Auteurs et Guilaine Depisgrâce à qui j’ai pu découvrir ce roman en avant-première.

 

Le début du roman est très rapide (peut-être trop rapide) : on rencontre Raphaël, Laura, leurs amis, on les voit tomber amoureux, se marier, avoir des enfants… Un rythme plutôt accéléré auquel on n’est pas très habitué et qui peut surprendre. 

Et puis, lors d’un réveillon de Noël, alors que Laura et Raphaël rentrent chez eux après les dernières courses, Laura disparait. Son corps ne sera pas retrouvé.

Raphaël est anéanti mais garder un semblant de vie et pour ses enfants, il finira par épouser une seconde femme : Aurélie. Une femme aimante avec lui et avec ses enfants, une femme idéale. Mais les fantômes du passé hantent Raphaël et un simple voyage pourra bien marqué un nouveau tournant dans sa vie…

 

Voici un roman que l’on pourrait résumer en disant qu’il s’agit d’un brillant mélange des genres. Entre roman sentimental, policier et fantastique, l’auteur nous entraine dans un univers étrange où se côtoient les émotions et le suspens autour de la disparition de Laura, une épouse et une mère partie trop tôt.

 

Je me suis très vite attachée aux personnages de ce roman et plus particulièrement à Aurélie qui est une jeune femme qui m’a beaucoup touchée. Rêvant d’une belle et longue histoire, elle épouse Raphaël, son lourd passé et ses enfants avec l’ambition de faire pour le mieux dans leurs vies.

Raphaël, de même est un homme que j’ai aimé suivre, tour à tour en le comprenant ou en doutant de lui.

Seuls les enfants ne m’ont pas vraiment touchée. Dommage car ces jumeaux perdant leur mère, j’aurais aimé pouvoir les prendre dans mes bras alors que, paradoxalement, ils n’ont peut-être pas eu une place assez primordiale dans le roman pour que je pleure avec eux.

 

Capture d’écran 2014-05-15 à 14.24.30.pngLe roman n’est pas sans rappeler les premiers romans de Lévy et Musso et de par ses thèmes et de par son caractère addictif lors de la lecture. Parce que oui, dès le milieu du roman on commence à comprendre la fin et pourtant, on continue notre lecture sans jamais pouvoir nous arrêter. La fin est plus ou moins telle qu’on l’imaginait et pourtant on ressort ravi de ce roman qui est, pour le dire simplement, un hymne à l’amour.

 

Du coup, en bref, pas de grosse surprise dans ce roman mais un très agréable moment de lecture tout de même qui nous permet d’entrer dans la vie d’un homme brisé par la perte de son épouse et dans l’énigme de cet événement arrivé à la pire des dates. 

 

Ségolène BONURA

Alexandre Meyer reçoit Marie-José Pestel dans « La Voix est libre » sur Radio Notre-Dame jeudi 15 mai 2014

Capture d’écran 2014-06-02 à 00.29.44.pngLa Voix est Libre Votre rendez-vous quotidien avec l’actualitéFlux RSS du podcast

Du lundi au vendredi à 9h05 en direct – Vos questions au 01 56 56 44 00

L’actualité vous intéresse ? Conso, politique, éducation : chaque matin, La Voix est Libre, votre rendez vous quotidien avec l’actu. Autour d’experts et d’acteurs concernés, nous vous donnons la parole.

La Voix est Libre, chaque matin dès 9h05, sur Radio Notre Dame.

Une émission quotidienne diffusée sur les radios de la COFRAC en France et à l’étranger.

Poser vos questions en direct : 01 56 56 44 00

Animée par : Alexandre Meyer

Émission du Jeudi 15 mai 2014 (réécoutez l’émission sur le lien)

Comment faire aimer les mathématiques ?

Salon Culture et Jeux mathématiques du 22 au 25 mai 2014, place Saint Sulpice

Marie-Brigitte GOIFFON, Professeur de mathématiques dans un lycée parisien (Fénelon-sainte-Marie), auteur de « Mathématiques par le jeu en CM1-CM2 » co-écrit avec Marie Berrondo (Editions Pole, 1998-1999). Elle tiendra un stand au salon culture et jeux mathématiques de la place Saint-Sulpice.

Pour lui écrire : joueraveclesmaths@gmail.com 

Gilles COHEN, créateur du Salon Culture et Jeux mathématiques, place Saint-Sulpice, éditeur (éd. Pôle) du magazine bimestriel Tangente, il tient la rubrique problèmes math du Monde le mercredi dans le cahier science, il est aussi le créateur du prix Tangente (soutien aux livres de culture mathématiques) et du prix Bernard Novelli(projet informatique autour du jeu).

Marie José PESTELDirectrice actuelle  du salon des jeux mathématiques et responsable du centre international des mathématiques.

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Le Figaroscope recommande les spectacles de Michèle Venard. Merci à Marie-Noëlle Tranchant (14 mai 2014)

figaroscope.jpegLE FIGAROSCOPE DU MERCREDI 14 AU 20 MAI 2014

THÉÂTRE

IL EST TEMPS DE RÉSERVER ! ICI

Lectures

Bonnes figures

mv exaltee.jpgAu Théâtre du Gymnase-Marie Bell, Michèle Venard propose deux séances de lecture À voix haute et nue, le 21 mai et le 18 juin à 18h30. La première, « Figures de rêveurs », puisera notamment dans les oeuvres de Pierre-Jean Jouve et de Herman Melville ; la seconde, « Figures de l’amour », permettra d’entendre des textes peu connus de Knut Hamsun, Kawabata, Faulkner, Marguerite Yourcenar ou Vassili Grossman. Chaque séance, de 55 minutes, est suivie d’une rencontre à la terrasse-bar du théâtre.

21 mai et 18 juin au Théâtre du Gymnase-Marie Bell

38 boulevard de Bonne Nouvelle (Xème).

Tél : 01 42 39 21 61 et 01 48 06 27 96

Henry de Lesquen reçoit Marie-José Pestel et Hervé Lehning dans son Libre Journal (lundi 12 mai 2014)

Henry_de_Lesquen.jpgMarie-José Pestel et Hervé Lehning ont été les invités d’Henry de Lesquen dans Le Libre-Journal de Radio Courtoisie évoquant le Salon des Maths lundi 12 mai 2014. Réécoutez l’émission ici.

Henry de Lesquen, assisté de Jacqueline Loevenbruck, recevait Jean Costentin, professeur émérite en pharmacologie à la faculté de Rouen, membre des Académies de Médecine et de Pharmacie, Patrick Simon, avocat, Vladimir Fédorovski, éditeur, écrivain, Frédéric Morgan, docteur en philosophie politique et morale, Marie-José Pestel, présidente du comité international des jeux mathématiques, Hervé Lehning, professeur de mathématiques, rédacteur en chef de la revue Tangente. Thèmes : “faut-il légaliser le cannabis ? La chronique du grand-large : « l’identité malheureuse (suite et fin) » ; que veut Poutine ? La vogue des jeux mathématiques ; chronique du courrier des auditeurs.”

Le site Stratégies recommande la revue de géopolitique « Conflits » (12 mai 2014)

Conflits, une nouvelle revue de géopolitique dans les kiosques

12/05/2014

 

L’universitaire Pascal Gauchon crée une revue trimestrielle consacrée à la géopolitique.

Vendu en kiosques au prix de 9,90 euros, «Conflits» comprend 84 pages et est tiré à 40 000 exemplaires. Ouverte à la publicité, la revue propose des articles écrits principalement par des universitaires spécialistes de géopolitique. A la une de ce premier numéro, «Eurasie: le grand dessein de Poutine».

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Argoul voit dans « L’air du monde » de Victor Kathémo « Un roman incontestablement stylé, qui captive avant tout par sa langue » (critique du 10 mai 2014)

Flaubert écrivait que c’était le style qui faisait l’écrivain.

Alors, Victor Kathémo est un grand écrivain. Découvrez-le ! 

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Victor Kathémo, L’air du monde

Publié le 10 mai 2014 par argoul

Quatrième roman d’un auteur français né en Afrique, près des Grands lacs. Il y a incontestablement un style (…)

(…) il raconte bien. Il savoure la langue, croque les mots, un rien précieux mais amoureux. C’est (…) la saveur qui reste à la lecture de ce livre. Exemple : « …le quai Richelieu où, depuis son aménagement en parterres raffinés et colorés, composé de centaines d’espèces de plantes vivaces et graminées, les âmes enclines à la promenade bucolique viennent se départir de leurs tintouins quotidiens, pique-niquer et folâtrer quand l’occasion se présente au bénéfice d’un ensoleillement radieux et de la douceur de la brise vespérale » p.43.

Cette écriture a son charme. Vous pourrez y être sensible car ce roman captive avant tout par sa langue.

Victor Kathémo, L’air du monde, 2014, éditions Myriapode, 185 pages, €17.10

Attachée de presse Guilaine Depis, guilaine_depis@yahoo.com / son site officiel

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Victor Kathémo sélectionné pour « la Comédie du Livre » du 23 au 25 mai par la librairie des voyageurs « Les Cinq Continents » : un événement à ne pas rater !

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Librairie Les Cinq continents, la librairie des voyageurs 

20 rue Jacques Coeur 34 000 Montpellier 

Notre Comédie du livre 2014 – Introduction

Par Alain et Christine Londner, dans Comédie du livre à Montpellier –# 886 – Fil RSS

Voici arrivé le moment de notre programmation 2014 pour la « Comédie du livre » qui se tiendra du Vendredi 23 au Dimanche 25 Mai 2014.

Ce sont les écrivains des pays nordiques qui seront à l’honneur cette année. Vous les retrouverez chez nos confrères.

Quatre tables rondes seront programmées cette année en compagnie de nombreux écrivains voyageurs, peintres voyageurs, aventuriers, écrivains.

Le Carnet de voyage sera encore à l’honneur avec une première table ronde surl’Inde à coups de crayon avec Olga et Arnaud de Turckheim pour leur dernier carnet sur l’Inde de Nord-Est, « Aux confins oubliés de l’Inde » (Éd.Actes Sud) et puisque nous recevrons Sonia PrivatGrand Prix du Public à Clermont-Ferrand en 2012, pour « India Express » (Éd.Magellan & Cie).

La seconde table ronde sera consacrée à L’ivresse de la marche avec Olivier Lemire pour « Chemin d’Assise, l’aventure intérieure » (Éd.Bayard) et Cédric Gras pour « le Cœur et les confins » (Éd.Phébus). Se joindra à eux, Tomas Espédal, écrivain norvégien pour « Marcher » (Éd.Actes Sud).

La troisième table ronde aura pour thème l’aventure pour quoi faire? avecPhilippe Frey pour « Passion désert » (Éd.Arthaud), Olivier Weber pour « La confession de Massoud » (Éd.Flammarion), Romain Potocki pour « L’homme itinérant » (Éd.Presses de la Renaissance) et Olivier Germain-Thomas pour« Manger le vent à Borobudur » (Éd.Gallimard). 

Enfin la quatrième table ronde aura pour sujet Villes-Monde, Cultures urbaines: Calcutta, Jérusalem, Paris et Naples avec Dominique Sigaudpour « Partir, Calcutta » (Éd.Verdier), Katia Chapoutier pour « Lost in Jérusalem »et pour « Les vies secrètes de Paris » (Éd.Le Passeur) et Véronique Bruez pour « Naples, allegro con fuoco » (Éd.Gallimard).

Le carnet de voyage restera un moment fort de notre « Comédie » avec la présence de Samuel Chardon et Céline Roussel pour leur carnet sur l’Asie du Sud-Est (L’oiseau Porte-plume), Raphaël Segura pour ses carnets de voyage et ses recueils de poésie et Philippe Bichon pour son carnet sur l’Iran (Éd.Élytis).

Philippe Crochet et Annie Guiraud présenteront « l’Ouest Américain »(Ed.Palantines), leur premier livre.

couv jpeg air du monde.jpgNous retrouverons Victor Kathémo pour un nouveau roman « L’Air du Monde » (Éd.Myriapodes).

Parmi nous, également, trois auteurs des éditions Transboréal: Brian Mathé, Morgan Monchaud et Siphay Vera pour leur récit d’un tour du monde en trois ans et à vélo « Solidream ».

Myriem Lahidely sera présente pour son livre « Guide secret de Montpellier » (Éd.Ouest-France), Yann Gourmelin pour la sortie de son dernier recueil de nouvelles « La vie est un chemin de crête » (Éd de L’enclave), Jean Rieucau pour son livre « Le Kenya dans sa troisième révolution touristique (Éd.L’harmattan), Christine Motte pour son album sur le Vietnam « Vietnam, minorités éthniques du Nord au Sud » et Marie Durand pour son récit « Bolivie, la voix de Flora résonne… » (Éd.L’Harmattan). 

Hommage donc à nos « Détonnants voyageurs ».

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