« une langue très classique extrêmement agréable à lire »

La vie d’artiste au temps du libéralisme

À partir de la vie d’un jeune homme adopté, affublé du surnom de Soledad, qu’il adoptera, Frederika Abbate entreprend de nous promener dans un monde hésitant entre le fantasque et le réalisme. 

Soledad, artiste, cherche dans son imaginaire l’image d’une jeune femme, amante éternelle, muse permanente, aux quatre coins du monde. Bangkok, Saint-Pétersbourg, Paris sont du voyage. Notre héros rencontre des personnages variés, aime, les scènes de sexe sont crues, entre en confrérie mystique, se réalise comme artiste, jusqu’à une exposition new-yorquaise qui achève sa destinée initiatique.

Le roman (…) se lit pour le plaisir d’une langue très classique extrêmement agréable à lire.
(…) Le roman plaira aux amateurs de contes romancés, de belle langue contemporaine et de rêve.

François Martini

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